A l’heure du NO-CODE, vous allez dire que je n’ai rien compris, que je suis à la « ramasse »… Mais le site que vous consultez en ce moment même a été réalisé en php/html/css à la main d’un développeur amateur. Cet exercice de codage m’amuse finalement, tout en m’aidant à mieux comprendre comment tout cela fonctionne et en faisant travailler mon vieux cerveau pour éviter la sclérose… Gageons qu’en 2025, j’aurais le courage et le temps de bloguer à de nombreuses occasions quelques contenus qui pourraient vous intéresser.
Lokazionel a rencontré Cheops Forlife, résidente du monde virtuel OpenLife Grid, pour recueillir son témoignage sur la pratique des mondes virtuels.
D'après vous, quels seraient les atouts des mondes virtuels de type Second Life pu OpenSim ?
« Les usages et applications offerts par les mondes virtuels me paraissent peu valorisés en France alors qu'ils offrent une socialisation réelle à des personnes qui peuvent s'en trouver privées pour des raisons de handicap, de chômage, d'isolement ou tout simplement dans le cadre de leur temps libre. Ils permettent à des talents de se révéler, contribuent à l'amitié entre les peuples... Ils restituent également les conditions nécessaires au face à face pédagogique et aux effets groupes que le e-learning ne peut offrir dans un univers 2D... »
Mais l'accès aux mondes virtuels est-il aisé ?
« J'ai pu vérifier la difficulté d'en donner l'accès à des non-initiés dans le cadre d'une expérimentation appliquée aux méthodes de travail collaboratif que j'ai pu initier l'an passé dans le monde associatif et du travail. Il s'agissait du projet “V-learning FCSF” qui consistait à transposer certaines rencontres et séquences de formations suivies par les acteurs du réseau de 40 fédérations réparties dans toute la France, dans un même espace virtuel.»
Pour en savoir plus sur le projet "V-learning FCSF".
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