Avec les outils collaboratifs tels que les chats, Google docs et autres webinar, les participants n’ont pas la même immersion, ni la même efficacité qu’avec les mondes virtuels dans le cadre d’actions de formation (conférence, tutorat, quizz…). Vous restez seuls assis chez vous, quelque part, mais le sentiment « d’être là », dans la classe, est absent. En tous cas plus faible qu’avec l’utilisation des mondes virtuels.
Nanzing précise : « Le seul obstacle à l’usage de ces univers numériques est d’amener les enseignants et les apprenants à dépasser l’appréhension, la peur de quelque chose d’un peu étrange, les mondes virtuels. » Puis de les préparer à maîtriser rapidement et a minima l’interface logicielle pour évoluer (chat, voie, apparence, interaction avec les objets…) dans ces environnements en 3D.
Game to serious game
Manitoga, un « gamer », explique : « Un jeux vidéo n’est pas mieux par ce que je peux y voir les avatars des autres joueurs. Mais parce que j’ai des missions à accomplir, des leviers à actionner, de bases ennemies à détruire et que je fais tout cela en collaborant avec les autres ».
Retrouvez l’article consacré à l’augmentation des tarifs de Linden Lab pour l’hébergement des régions virtuelles dédiées à l’éducation, ainsi que l’intégralité des commentaires dont est inpiré ce post.
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